TishkBarzanji est kurde. Il est né dans une région située entre l’Irak, la Turquie et la Syrie, qui a refusé à ce groupe ethnique le statut d’État.
Il a émigré à Londres en 1997 en tant que jeune réfugié, et une grande partie de son enfance est restée ancrée dans sa mémoire comme source d’inspiration pour la création de ses œuvres.
Il se souvient encore de son premier jour à Londres, lorsqu’une femme l’a abordé et lui a dit : “Je ne veux pas être impoli, mais qui êtes-vous ?”, ce à quoi il a répondu : “Nous sommes particuliers, nous sommes kurdes.” Tishk a accepté cette perception de la “différence” dès son plus jeune âge.
Il ne s’est jamais soucié de se conformer et de se précipiter “dans la nuit” pour se réjouir de l’arrivée du week-end. Il préférait se cacher dans sa petite utopie parce qu’il ne voulait pas se cacher dans les usines ou les entrepôts.
Tishk Barzanji est un artiste visuel basé à Londres, au Royaume-Uni. Son travail touche au modernisme et au mouvement surréaliste. Son travail tourne autour de l’espace, de la couleur, de la déconstruction, de la suppression des frontières, de la compréhension de l’espace de vie dans ce monde en mouvement rapide et des interactions humaines au sein de ces espaces.
Avant de se lancer dans l’art, Tishk Barzanji a étudié la physique à l’université. Son parcours transparaît dans ses œuvres : son obsession pour la position de chaque ligne et de chaque objet, ainsi que ses études de l’espace et des volumes font de ses œuvres des labyrinthes, dans lesquels on aime se perdre durant des longs instants.
Des labyrinthes visuels Les réseaux sociaux regorgent de pépites artistiques. Ils permettent de découvrir tous les jours des artistes exerçant à l’autre bout du monde, des artistes qui n’auraient peut-être pas disposé de la même visibilité s’ils n’avaient pas pu répandre leur art sur internet. C’est par exemple le cas de Tishk Barzanji. Ce jeune Kurde d’Irak contemporain crée des designs aux graphismes envoûtants et aux couleurs criardes.
” Je veux créer un monde où il n’y a aucune limite à l’espace et aux couleurs, un monde où tout se heurte sans logique. » Voilà comment Tishk Barzanji décrit ses œuvres.
D’abord passé par la photographie et l’aquarelle, il s’est tourné vers la peinture afin de pouvoir manipuler les formes et les couleurs à sa guise. De là, il s’est vite essayé au numérique, lui permettant une totale liberté dans la réinvention de ses œuvres.
Depuis 2017, Barzanji a travaillé avec une variété de clients, tels que Rockefeller, The New York Times, Victoria & Albert Museum, Somerset House, NET-A-PORTER et Gucci.L’artiste a également fourni des œuvres d’art pour The Good Time Hotel de Pharell, et a récemment été présenté dans le Vogue britannique.
Du magnifique ma très chère Véro merci.
Gros bisous tendresses ❤️❤️
Véronique Auché
merci Yves
D.BRATS
J’aime les artistes qui sortent de l’ordinaire ! Je l’admire beaucoup !
Merci Véronique !
Véronique Auché
merci dominique
Christian
Un beau voyage dans cet art contemporain Merci Véro
Véronique Auché
merci christian
Ghislaine Lavoie
Quel envoûtement ! J’adore!
Véronique Auché
merci
Didierjean Colette
Merci pour ce prestigieux partage
L’Art dans toute sa maîtrise
Véronique Auché
merci
Patricia Spineux
Superbe et passionnant reportage!.
Cet artiste est totalement atypique et, comme dans la nature, le heurt des couleurs de ses œuvres n’est absolument pas choquant, mais au contraire, surprenant et très agréable.
Une chose cependant m’interpelle : les humains restent noirs et restent à jamais les ombres d’eux-mêmes.
Est-ce un message?🤔
Merci pour ce beau reportage sur cet artiste !
merci pour ton partage sur Facebook
Intéressant, j’aime bien
merci Patty
Du magnifique ma très chère Véro merci.
Gros bisous tendresses ❤️❤️
merci Yves
J’aime les artistes qui sortent de l’ordinaire ! Je l’admire beaucoup !
Merci Véronique !
merci dominique
Un beau voyage dans cet art contemporain Merci Véro
merci christian
Quel envoûtement ! J’adore!
merci
Merci pour ce prestigieux partage
L’Art dans toute sa maîtrise
merci
Superbe et passionnant reportage!.
Cet artiste est totalement atypique et, comme dans la nature, le heurt des couleurs de ses œuvres n’est absolument pas choquant, mais au contraire, surprenant et très agréable.
Une chose cependant m’interpelle : les humains restent noirs et restent à jamais les ombres d’eux-mêmes.
Est-ce un message?🤔
oui un message presque inquiétant